Claudel et la musique
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Le Ravissement de Scapin Lire la suite »
Jeanne d’Arc au bûcher Lire la suite »
Dans l’entre-deux-guerres, la langue de Claudel a fait l’objet de violentes attaques, venues essentiellement du camp néoclassique. Citons, par exemple, ce propos de Joseph de Tonquédec en 1917 :
Claudel et le livre Lire la suite »
Demeuré longtemps dans l’ombre, le versant exégétique de l’œuvre de Claudel est pourtant le plus volumineux et à bien des égards le plus fascinant.
L’œuvre exégétique Lire la suite »
Entre 1918 et 1953, Claudel composa un vaste ensemble de « Psaumes » traduits du latin de la Vulgate, dont seuls un petit nombre furent publiés de son vivant en trois minces recueils. S’il eut jamais le désir de réaliser un psautier complet, il ne parvint pas au bout de l’entreprise : alors que certains psaumes connaissent deux ou trois versions différentes au fil des années, d’autres semblent entièrement ignorés du poète.
L’Histoire de Tobie et de Sara tient une place inédite dans le corpus claudélien.
L’Histoire de Tobie et de Sara Lire la suite »
Oeuvres lyriques et Ballets Lire la suite »
Comme Mallarmé traducteur de Poe ou Gide traducteur de Shakespeare, Claudel s’adonna à ce qu’il considérait comme un "bel art". Il commença par s’attaquer à la tragédie grecque en proposant une version très personnelle de l’Orestie eschyléenne. De façon plus ponctuelle, il traduisit quelques poètes de langue anglaise. Il consacra les années de la maturité et de la vieillesse au latin de la Vulgate.
Claudel traducteur Lire la suite »
Les réécritures théâtrales Lire la suite »
Le Soulier de satin Lire la suite »
La Lune à la recherche d’elle-même Lire la suite »
La trilogie des Coûfontaine Lire la suite »
L’Annonce faite à Marie Lire la suite »