L’homme et l’œuvre

La Jeune Fille Violaine

La Jeune Fille Violaine (2° version)

La première version de La Jeune Fille Violaine fut composée en 1892, après la première version de La Ville. Au drame urbain succédait un drame paysan bâti autour du sacrifice de son héroïne, Violaine : ainsi se parachevait l’épisode de la conversion et se poursuivait la réflexion du poète sur la place et la fonction de la foi et de la religion catholique dans la société.

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Tête d’Or

Tête d’Or (seconde version)

Le texte

La seconde version de Tête d’Or fut remaniée en 1894, comme en atteste le manuscrit acquis par la BNF en 1990. Le texte complet fut publié pour la première fois dans L’Arbre.

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L’Arbre

Ce recueil paru en 1901 au Mercure de France constitue la première édition du théâtre de Claudel. Le dramaturge choisit d’y rassembler cinq pièces (La seconde version de Tête d’Or, la seconde version de La Ville, la seconde version de La Jeune Fille Violaine, Le Repos du septième jour, L’Echange), parmi lesquelles, déjà, trois remaniées.

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Claudel et la danse

Je définirai la danse la preuve offerte à une assistance, sous les feux des projecteurs, de l’impossibilité pour l’être humain, caressé, entraîné, stimulé, fouaillé par la musique d’échapper au poids aussi bien qu’à l’impulsion…

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Claudel et l’art scénique

Claudel a toujours voulu s’ingérer dans les mises en scène de ses pièces ; aussi a-t-il acquis peu à peu une conscience de l’art scénique. Mettre en scène, pour lui, ce n’est pas seulement une tâche artisanale se bornant à adapter son texte à des conditions matérielles précises, c’est aussi et surtout une véritable création artistique.
 

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L’art poétique

Ce texte très complexe, publié en 1907 mais dont la première idée paraît remonter aux années 1898-1899, est un très étrange objet littéraire. Son titre ne doit pas abuser: il ne s’agit pas d’un art poétique au sens de Boileau ou d’Horace, ce n’est pas un art d’écrire, c’est un ars poetica mundi, un art poétique de l’univers, qui expose "l’art de la nature de fabriquer tout ce qu’elle a fait" .

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